Flexi- quoi ? Avec toutes les conduites alimentaires qui nous sont prescrites aujourd’hui, en voici une nouvelle qui se veut plus souple que les autres. Mais de quoi s’agit-il ?
Le Flexitarisme – flexitarian en anglais, est une pratique, vous l’aurez compris, venue des Etats-Unis. Basée cette fois-ci sur une certaine flexibilité – à voir dans quelle mesure, cette soit disant flexibilité s’étend, la méthode promue par les défenseurs d’une vie healthy et responsable, concerne les personnes dites « végétariennes à temps partiel ».
Oui à la viande, non aux conséquences sur l’environnement : les flexitaristes prônent la diversification alimentaire en consommant 80% du temps des produits d’origine végétale et pour les 20% restants : place à la viande.
Et les défenseurs de cette tendance alimentaire ne manquent pas d’arguments pour convaincre leurs congénères : bon pour la santé, car cela réduit les risques de cholestérol et autres maladies cardio-vasculaires, léger pour le portefeuille – on l’aura constaté, les produits carnés (de qualité) affichent un coût certain, ami de l’environnement, en réduisant les émissions de gaz à effet de serre dus à l’élevage.
Que des points positifs à les écouter !
Moins stricte que le végétarisme ou végétalisme, aurait-on trouvé la solution pour une consommation durable et équilibrée ?
Mais à y réfléchir, n’est –ce pas déjà ce que pratiquent déjà bon nombre de personnes ? Pourquoi donner alors un nom si savant à ce que le bon sens nous mène à pratiquer ?
Le débat est lancé.
